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Pourquoi proposer la souscription d’une ADP lors d’un financement accepté sans assurance ?

Il est fréquent qu’un financement soit accepté sans assurance notamment dans le cadre d’une restructuration de crédits avec une garantie hypothécaire. Si cela peut représenter une opportunité de réduire le coût de l’opération de RAC, cela peut avoir certains impacts sur le client, sa capacité à continuer à honorer les mensualités de son prêts en cas d’invalidité ou incapacité, la transmission de son patrimoine en cas de décès.

L’hypothèque, une sûreté… pour la banque !

L’hypothèque offre une garantie à l’établissement prêteur de recouvrer les sommes prêtées en cas de défaut de remboursement de l’emprunteur quelle que soit la cause de ce manquement : sinistre (décès, PTIA, invalidité ou incapacité), difficultés financières, etc.

Cependant, cette garantie hypothécaire ne saurait se substituer à l’assurance de prêt.

Prenons l’exemple d’un emprunteur qui, suite à un arrêt de travail, n’est plus en mesure de rembourser ses mensualités dans les délais attendus :

  • Dans le cas d’un client ayant souscrit une assurance de prêt couvrant le risque d’ITT, cette dernière prendra en charge, au terme de la franchise, le relai pour le remboursement du prêt.
  • Si ce même client n’avait pas souscrit une assurance emprunteur, le risque de saisie du bien dans le cadre de l’hypothèque est important.

Dans le cadre d’un décès, le résultat selon que l’emprunteur aura souscrit ou non une assurance de prêt, est bien différent aussi. Dans le premier cas, l’assureur remboursera le capital restant dû à la banque. Ainsi, le bien sera « intégralement » transmis aux héritiers. Dans le second cas, il serait nécessaire que les héritiers, par la vente du bien ou en puisant dans les valeurs mobilières de la succession, remboursent ce capital restant dû à l’organisme prêteur.

Une assurance de prêt pour plus de sérénité

Si l’assurance de prêt n’est pas obligatoire, elle reste fortement conseillée. Malheureusement beaucoup (trop) de clients y renoncent quand elle ne leur est pas imposée : soit, comme dit précédemment pour économiser sur ce poste de dépense ; soit, et souvent à tort, parce que le potentiel assuré a été refusé par le contrat groupe pour des raisons médicales et pense dès lors être inassurable.

Sur la question du coût de l’assurance de prêt, certaines banques de RAC présentent parfois des tarifs prohibitifs. Le fait de faire appel à un assureur externe peut permettre de réduire le coût de cette assurance par 4, 5, voire plus dans certains cas.

De la même manière, certains clients, parce qu’ils ont essuyé un refus sur le contrat groupe, abandonnent leur recherche d’une assurance emprunteur alors qu’ils auraient pu être acceptés sur un contrat de délégation -ces derniers pouvant en effet présenter un spectre d’acceptation sur le médical bien plus large que celui des contrats groupe.

Ces barrières du budget et de la décision médicale dépassées, le client, au moment de la souscription de son assurance emprunteur « facultative » pourra de plus décider de mettre la banque comme bénéficiaire acceptant du contrat mais tout aussi bien choisir de mettre son conjoint, ses enfants ou toute autre personne comme bénéficiaire physique de ce contrat en cas de décès. Ce dernier point peut offrir plus de souplesse pour le bénéficiaire en cas de sinistre.

L’ensemble des inspecteurs simulassur.fr se tiennent à votre disposition pour vous donner plus d’informations. Contactez-nous : https://www.simulassur.fr/Contact


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Patrick Cuvelier